Garrec ○ To glory

I. LE PERSONNAGE.

• NOM : Inconnu
• PRÉNOM : Garrec
• GENRE : ♂
• ÂGE : 31
• NATIONALITE : Obsidien
• AVATAR :

II. LES DESCRIPTIONS.

Garrec est excellent guerrier et professeur d'Erès. Il possède une patience hors du commun, qui lui sert beaucoup dans ces deux domaines. Il possède une certaine sagesse de par son expérience, mais n'est que rarement sûr de ce qu'il raconte ; en rassurant les autres, il se rassure aussi lui-même. Il est cependant très puissant ; un des rares à pouvoir surpasser son nouvel élève, aussi mystérieux l'un que l'autre. Mais son amnésie ne l'aide pas ; il est facilement perturbé et sa confiance en lui et celle qu'il accorde aux autres flanche facilement. Il est cependant fier de son statut de professeur et de guerrier aguerri. Malgré son exil volontaire de la capitale et de la garde royale de la Légion d'Obsidienne, il porte toujours fièrement les parures dorées de son armure, malgré sa capacité à éviter le combat le plus possible.

Grand et puissant, la force principale de Garrec n'est pas sa rapidité (très grande, au vu de son armure et de son arme), mais plutôt sa force. Il manie sa longue épée d'une agilité sans égale, et est capable de désarmer ses adversaires en quelques coups seulement. Tout comme son élève, il ne montre pas souvent son visage ; mais contrairement à lui, son armure est complète. Celle-ci, forgée dans l'or royal, est parée des couleurs bleu nuit et de dessins dorés. Le hibou, son emblème, est présent sur son épaule gauche, son dos et sur ses étendards. Un relief de la rose et de l'épée, symbole de la Légion, est présent sur son épaule droite - symbole de la garde royale, ainsi que les élèves de ceux-ci. Son visage, lorsqu'il est découvert de son heaume orné du symbole de son défunt maître Daubény, laisse voir des yeux noirs profonds, une peau claire et des cheveux aussi noirs que l'obsidienne. Ceux-ci s'accordent parfaitement à son aura : des pierres d'obsidienne. Il est d'ailleurs un des rares guerriers de la Légion à l'avoir découverte.

III. L'HISTOIRE.

Ce n'est un secret pour personne ; Garrec est amnésique. Il n'a absolument aucun souvenir de sa vie d'avant. Il s'est réveillé, un jour de sa vingtième année, dans un lit d'une clinique. Un pêcheur l'avait retrouvé dans la forêt, inconscient et à peine vêtu. Les seules choses qui lui restaient était son prénom, son âge et son talent exceptionnel à l'épée et au combat. Il s'était donc servi de cet unique moyen pour rejoindre la garde royale. Il avait eu du mal à convaincre la hiérarchie ; mais il finit par réussir à prouver sa valeur et son talent. Le commandant Daubény le prit sous son aile, et l'entraîna durement durant 10 ans. Cette décennie fut ponctuée de batailles, de guerres et de trahisons ; mais la loyauté de Garrec envers son maître et son armée ne faiblit jamais. Lors de la guerre contre le jarl Hesseim, il gagna un titre de héros ; mais y perdit son maître. Celui-ci lui donna les ornements de son heaume ; et depuis, Garrec ne les enleva jamais. Malgré l'accueil héroïque au retour de la guerre, il décida de partir. La guerre lui avait fait connaître sa véritable nature ; et la légende racontait qu'une fois qu'un guerrier l'avait découverte, son aura l'était également. Cette légende n'en restait qu'une jusqu'à qu'on les voie de nos propres yeux. Et celle de Garrec, l'obsidienne, avait une signification. Et il comptait bien la découvrir. Là étaient donc les raison du départ du guerrier, nommé paladin à titre honorifique. Il traversa de nombreuses villes de la Légion en quête d'un indice. Dans une arène, il découvrit alors Erès, le gladiateur, dont les autochtones l'appelaient Ventus Bellator. Celui-ci, impressionna Garrec, qui le défia en combat. Erès, sentant la puissance du paladin, voulait que ce combat soit officiel ; et lui demanda qu'en cas de défaite, qu'il devienne son mentor. Garrec accepta ; il sentait aussi la puissance d'Erès, et voulait en savoir plus sur ce jeune à l'arme peu commune. Il sentait qu'il pourrait aussi l'aider. Le combat fut rude pour les deux hommes, car la règle était l'élimination directe si un des deux forçait l'autre à poser un genou au sol. Garrec profita de la seule erreur d'Erès, et celui-ci fut forcé de s'agenouiller devant son nouveau maître. Les deux guerriers partirent donc, à la recherche d'ennemis puissants et de réponses ; car Erès aussi avait beaucoup de questions à se poser.

IV. DERRIÈRE L'ECRAN.