Erès ○ Enjoy your slay

FICHE D'IDENTITE

NOM :: Inconnu
PRÉNOM :: Erès
AGE :: ici
DATE DE NAISSANCE :: Inconnu
NATIONALITÉ :: Obsidien
STATUT :: Exilé

"QUI ES-TU ?"

PRENOM :: ici
PSEUDO :: ici
AGE :: ici
OU TU AS CONNUS LE FOW ? :: ici
DES COMMENTAIRES ? :: ici
CODE :: ici
AVATAR :: ici

CARACTERE

Comment décrire Erès ? Il est tout à la fois. Un blagueur égocentré, mystérieux, fêtard. Mais aussi un excellent combattant. Il a su faire d'une arme peu commune une arme de destruction massive. Il en est conscient, et ne le cache pas ; il cherche toujours plus difficile pour lui. Et lorsque le défi en face de lui ne correspond pas à ses critères de “difficile”, il devient insupportable pour quiconque est en état de l'entendre se plaindre. Ses complaintes sont d'ailleurs souvent les dernières paroles qu'entendent ses ennemis. Il profite de leurs regards de désespoir afin de raconter les poèmes qu'il écrit à ses heures perdues ; c'est-à-dire, quand il ne s'entraîne pas ou ne fait pas la fête. (Ce qui ne veut pas dire que c'est bien écrit.) En effet, chez Erès, la fête, c'est sacré. Et rien ne l'empêchera de boire son coup dans une auberge ; elle pourrait être remplie de guerriers ennemis qu'il réussirait à boire sa pinte. Mais derrière ses airs comiques et narcissiques, se cache une part bien plus sombre.

PHYSIQUE

Conscient de ses capacités physiques, Erès ne cache rien de ses muscles. Son armure d'argent couvre ses épaules et une partie de son bras droit – par lequel il tient son trident. Elle est également présente sur son bras gauche, plus renforcée pour mieux parer en cas d'échec de son bouclier. Il porte une ceinture et une tenique de guerre obsidiennes (= spartiates, faut bien être rp), et un heaume lui couvrant l'intégralité du visage. Il a pendant longtemps gardé ses bonnes vieilles sandales de guerre, mais la réalité des combats l'oblige à porter des bottes légères. Sur son torse et ses jambes découverts, il affiche fièrement ses cicatrices de guerre qu'il porte comme des trophées. Ses équipements légers, qui favorisent ces cicatrices, lui confèrent cependant une rapidité non négligeable pour son physique. Son seul défaut revient donc à sa surestimation de lui-même. Concernant son visage, il n'est pas connu de tous car il n'enlève que rarement son heaume pour des raisons qui changent à chaque fois qu'on lui pose la question. Mais le peu qui l'ont vu, le décrivent comme beau, aux yeux bruns rougis, à la barbe courte taillée et les cheveux bruns. Mais en soi, il prend très soin de son physique ; et même si l'on ne voit pas son visage, c'est la catastrophe si sa barbe a dépassé la date fatidique des trois jours sans être taillée. Comme quoi.

HISTOIRE

Lui-même ne sait pas vraiment d'où il vient. Son histoire, c'est son maître de la Légion d'Obsidienne qui lui a raconté. En effet, Erès  n'a jamais connu ses parents ; ni d'où ils venaient. C'était son maître qui l'avait trouvé abandonné devant sa maison. Histoire non rare, certes. Mais le maître l'aurait laissé à son sort s'il n'avait pas vu en lui un potentiel exceptionnel. Il voyait dans les yeux rougis de l'enfant une âme de guerrier. Un béni d'Arès, dont le nom aura inspiré celui du bébé abandonné. Erès grandit ainsi, apprenant à manier de nombreuses armes par celui qui l'avait recueilli. Mais celle qu'il maîtrisait le plus était la vieille lance de son père adoptif. Et ce qui devait arriver arriva ; la lance se brisa. Erès, encore jeune, partit trouver de quoi la remplacer. Il trouva alors sur une plage où il se rendait souvent un trident, gravé du mot “Évadné”. Erès ne sait toujours pas ce que cela signifie, mais cela reste un de ses buts ; percer le mystère de son trident. Il retourna donc chez son maître, qui le trouva encore plus excellent au maniement de la lance à trois pointes. Erès se focalisa donc sur cette arme inhabituelle, qui le conduisit plus tard dans les  plus grandes arènes de la Légion. Il combattait d'abord des animaux devant des centaines de spectateurs ; mais, avide de gloire, il affronta des hommes, pour le plus grand plaisir de milliers d'autres. Encore jeune, il était le chouchou du public et plus il était expérimenté, plus ses combats rapportaient. Le jeune prodige au trident ne faisait qu'une bouchée d'adversaires plus grands que lui, mais aussi plus lents. Et il avait tout pour lui ; et ça l'ennuyait. Jusqu'au jour où il rencontra Garrec, le plus puissant des Sentinelles qu'Erès avait croisé ; et pour la première fois depuis nombreuses années, celui qui l'avait vaincu. Erès n'aspirait plus qu'à une chose : vaincre Garrec. Son vieux maître laissa donc Erès partir en compagnie du paladin. Mais ce que le père adoptif d'Erès savait de plus que les deux prodiges, c'était l'aura qu'ils dégageaient. Et celle d'Erès était bien plus effrayante.