Coin bordel...

La solitude. La solitude est géniale ! Être seule, tranquille sans personne pour parler. Seulement le bruit des oiseaux qui chantaient dans les arbres. Seulement le bruit du vent, le bruit de la tranquillité. Personne, personne pour nous déranger, ni même un petit bruit de pas, être juste seul dans son monde. Jouais seul, jouais tranquillement. Jouais librement sans règle juste avec la limite de sa propre imagination. Sans les mécontentements des autres, sans les réflexions des autres, sans leurs avis.


J'avais passé une excellente nuit. J'avais rêver que j'étais dans notre forêt, la notre ! Celle du Clan du Tonnerre. L'odeur des buissons, de l’écorce, des chats de mon clan. La sensation de la terre entre mes coussinets, le chant des oiseaux, les doux rayons du soleil chauffant mon dos. Le paradis...  Tout d'un coup un bruit dans un buisson avait attiré mon attention. Le vent soufflait sur moi, je me mis à sentir la bouche ouverte pour mieux capter les odeurs. Rien à signaler aucune odeur d'intrus ou bien d'un clan adverse mais c'était celle d'un pauvre mulot qui était en train de grignoter quelques graines. Je me mis en position du chasseur. Je m’avançais a pas feutrés, la queue basse, en ramassant tout mon poids sur mon l’arrière-train. Le mulot n'était plus qu'a quelques queue de moi lorsque par erreur j'avais marché sur une brindille, celle-ci craqua sous l'effet de mon poids. Le mulot ayant une fine ouïe avait détalé sur le champ, je me mis à sa poursuite mais il était déjà trop tard. Crotte de souris !
"Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris. "

© Nuage de Braise

La solitude. La solitude est géniale ! Être seule, tranquille sans personne pour parler. Seulement le bruit des oiseaux qui chantaient dans les arbres. Seulement le bruit du vent, le bruit de la tranquillité. Personne, personne pour nous déranger, ni même un petit bruit de pas, être juste seul dans son monde. Jouais seul, jouais tranquillement. Jouais librement sans règle juste avec la limite de sa propre imagination. Sans les mécontentements des autres, sans les réflexions des autres, sans leurs avis.

J'avais passé une excellente nuit. J'avais rêvé que j'étais dans notre forêt, la nôtre ! Celle du Clan du Tonnerre. L'odeur des buissons, de l'écorce, des chats de mon clan. La sensation de la terre entre mes coussinets, le chant des oiseaux, les doux rayons du soleil chauffant mon dos. Le paradis...  Tout d'un coup un bruit dans un buisson avait attiré mon attention. Le vent soufflait sur moi, je m'avais mis à sentir la bouche ouverte pour mieux capter les odeurs. Rien à signaler aucune odeur d'intrus ou bien d'un clan adverse mais c'était celle d'un pauvre mulot qui était en train de grignoter quelques graines. Je m'avais mis en position du chasseur. Je m'avançais a pas feutrés, la queue basse, en ramassant tout mon poids sur mon arrière-train. Le mulot n'était plus qu'a quelques queues de moi lorsque par erreur j'avais marché sur une brindille, celle-ci craqua sous l'effet de mon poids. Le mulot ayant une fine ouïe avait détalé sur-le-champ, je m'avais mis à sa poursuite mais, il était déjà trop tard. Crotte de souris ! Voilà que j'avais perdu ma proie à cause d'une fichue brindille ! J'étais donc retourné au camp la queue basse, à cause d'une erreur de débutant...Aujourd'hui était un jour spécial ! Je n'avais pas entraînement ! Pour une fois j'avais donc décidé de me balader tranquillement en pleine forêt. Pourquoi ne pas aller par ce ci beau temps en terre libre. Il y aurait peut-être quelqu'un qui sait.. Je m'étais installé sur le grand rocher, il était si grand, si haut contemplant les six chênes. Lorsqu'un chat de couleur gris apparut. D'après les odeurs un chat du clan du Vent.

"Bien le bonjour jeune chat ! "

Et quoniam inedia gravi adflictabantur, locum petivere Paleas nomine, vergentem in mare, valido muro firmatum, ubi conduntur nunc usque commeatus distribui militibus omne latus Isauriae defendentibus adsueti. circumstetere igitur hoc munimentum per triduum et trinoctium et cum neque adclivitas ipsa sine discrimine adiri letali, nec cuniculis quicquam geri posset, nec procederet ullum obsidionale commentum, maesti excedunt postrema vi subigente maiora viribus adgressuri.


Ciliciam vero, quae Cydno amni exultat, Tarsus nobilitat, urbs perspicabilis hanc condidisse Perseus memoratur, Iovis filius et Danaes, vel certe ex Aethiopia profectus Sandan quidam nomine vir opulentus et nobilis et Anazarbus auctoris vocabulum referens, et Mopsuestia vatis illius domicilium Mopsi, quem a conmilitio Argonautarum cum aureo vellere direpto redirent, errore abstractum delatumque ad Africae litus mors repentina consumpsit, et ex eo cespite punico tecti manes eius heroici dolorum varietati medentur plerumque sospitales.

"Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris. "

© Nuage de Braise